J'ai hésité... beaucoup. Où devais-je déposer cette nouvelle histoire à lire peut-être entre les lignes ?
Ici, là, ou encore là-bas ?
Où ai-je mis le meilleur de moi-même, ces mots auxquels je tiens ?
Un peu partout, en fait. Il suffirait d'un rien pour qu'un jour tout s'efface et qu'il ne reste qu'une ombre légère à l'intérieur d'un tableau.
Comme chez Jill-Bill ce matin... ah ! Pardon, j'ai encore mis des majuscules... Je raye... Jill-Bill. Il faut écrire jill-bill.
J'ai vu là-bas Lazarillo s'échappant du cadre où son peintre l'avait enfermé depuis bien trop longtemps.
Je l'avais déjà vu... et j'avais oublié l’œuvre majeure de ce peintre catalan de la fin du XIXe siècle : Pere Borell del Caso.
En le regardant mieux, j'ai tout de suite pensé à ces enfants que Murillo peignait.
Il s'appelle Lazarillo, c'est l'un de ces enfants d'aveugles qui - achetés pour quelques sous ou volés à leurs parents - conduisent un maître parfois cruel sur les routes d'Espagne et sans doute d'ailleurs.
Vous l'avez vu, entre ombre et lumière, se nourrissant de raisins...
Petit mendiant d'un siècle qui avait vu naître Don Quichotte et l'avait envoyé se battre contre tous les moulins de notre Histoire, celle qui s'écrit avec une majuscule et qui reste dans les mémoires, même lorsqu'on se dit que la vérité peut être ailleurs.
Mon Lazarillo de Tormes dort sur les rayons de ma bibliothèque. Il faudra que je le reprenne un jour, que je retrouve la magie d'autres mots avant que d'en oublier la langue où ils s'inscrivaient.
Je regarde ces mendiants, puis celui retrouvé au Louvre.
Il n'avait pas de barreaux à sa cage, mais où aurait-il pu aller ?
Il lui fallait du temps, beaucoup, pour ôter l'habit déchiré de son enfance, pour avoir l'audace un matin de ne plus rien écouter d'autre que son envie de liberté.
Il lui avait fallu du temps, beaucoup, pour comprendre que demain peut être autre pourvu que l'on y croie assez.
Il lui faudra encore du temps... beaucoup, beaucoup, pour franchir l'espace et le temps, et enfin, vraiment, sortir du cadre où l'on voudrait le maintenir.
Douce journée à tous.
...
j'ai eu beaucoup de mal a détacher mon regard du tableau chez Jill et ça recommence chez toi ...il y a une telle intensité mais que je ne sais décrire...je connais moins les 2 autres tableaux tout aussi captivants...
RépondreSupprimerbises et bonne continuation sur l'ouvrage
Je comprends tout à fait.
SupprimerCe tableau (en forme de trompe l’œil, mais il s'agit vraiment d'un tableau) est absolument splendide.
Et il dit tant...
Merci à toi. Notre marguerite grandit, et, tu sais, elle sera très belle aussi.
Bises et douce journée.
Ce dernier tableau est très impressionnant je trouve...les yeux peut-être...ce regard....
RépondreSupprimerDouce journée Quichottine & gros bisous
C'est vrai que l'on peut s'interroger sur ce que l'enfant voit.
SupprimerPeut-être se demande-t-il si le jeu en vaut vraiment la chandelle. Pourquoi n'est-il pas tout à fait sorti du cadre ?
Douce et belle journée à vous deux. Gros bisous.
Les yeux des enfants ont des pouvoirs infinis pour aller au-delà du cadre
RépondreSupprimerRestons longtemps enfants... :)
SupprimerLe cadre est là pour construire mais pas pour emprisonner, puisse-t-il trouver son chemin pour s'en échapper...Pour être lui-même dans un monde qui ne l'a pas gâté...
RépondreSupprimerEspérons qu'il sache trouver la bonne voie. :)
Supprimerbonjour, ma chère Quichottine
RépondreSupprimermerci infiniment pour tes mots sur la Petite Fabrique et chez moi
et tes mots d'ici !
là tu me fais un immense plaisir : ces tableaux sont parmi mes préférés !
et j'ai un attachement tout particulier pour "le petit mendiant" .(ou "le petit pouilleux")
merci encore !
bonne journée à toi
gros bisous d'amitié
jean-marie
Je suis ravie d'avoir pu te faire plaisir, Jean-Marie.
SupprimerMerci.
Gros bisous et douce soirée à toi.
C'est le regard de l'enfant qui donne de l'intensité à ce tableau ; je l'ai vu chez Jill Bill , hier.
RépondreSupprimerElle en a fait une histoire et toi une autre; j'avais oublié ces enfants vendus pour que leurs yeux servent à leur maître.
bisous
C'est jill-bill qui m'a donné l'idée de cette histoire...
SupprimerMerci à elle, et merci à mes professeurs qui m'ont fait aimer Lazarillo.
Bisous et douce soirée à toi.
Une jolie histoire pour ces magnifiques tableaux, je l'avais vu chez jill bill c'est intéressant de voir les idées de chacune.
RépondreSupprimerMerci... c'est après l'avoir vu chez elle que j'ai écrit ici.
SupprimerMerci à vous deux.
le regard vif et attentif y est pour beaucoup Quichottine, le mouvement ajoute à cette impression.
RépondreSupprimer(j'aime bien ce jeu sur les tableaux)
je te souhaite une belle journée
bises
Merci, Josette.
SupprimerJ'ai été attirée par ce regard.
L'enfant est en alerte... on ne peut que s'interroger sur ses pensées.
Bises et douce soirée à toi.
Je trouve le premier très beau, très réaliste. Le troisième est impressionnant. Le tout agréablement bien accompagné par de jolis écrits.
RépondreSupprimerMerci. :)
SupprimerJe suis heureuse de te retrouver sur mes pages.
Passe une douce soirée.
J'aime ce peintre, ses tableaux sont vraiment superbes , quelle belle expression sur le dernier !
RépondreSupprimerBisous et belle soirée Quichottine
Deux peintres ici... les premiers tableaux sont de Murillo, le dernier d'un autre peintre que je ne connaissais pas vraiment.
SupprimerMerci, Marie.
Bisous et douce soirée à vous deux. Profitez bien de votre fin de semaine.
Génial le cliché 3
RépondreSupprimerC'est un tableau... incroyablement réel.
SupprimerMerci, Gérard.
Passe une douce soirée.
Le dernier tableau est vraiment très beau
RépondreSupprimerJe trouve aussi... Il est criant de vérité.
SupprimerMerci, Kri.
Bonjour Quichottine... Tu en sais plus que moi au sujet de cet enfant, j'avais simplement pris ce trompe l'oeil pour en faire une petite histoire... Oui je connais ces mangeurs de fruits... pauvres gosses va, heureusement les temps ont changé même s'il existe encore de par le monde de ces mômes sales et mendiants.... Merciiiiii ! Bises de jill
RépondreSupprimerTu sais, je n'aurais jamais écrit sur ce tableau sans toi...
SupprimerMerci donc, jill, pour tout ce que tu nous apportes chez toi.
Bises et douce soirée. Passe une bonne fin de semaine.
J'avoue connaître mieux (en visuel, seulement, pas leur histoire) les 2 premiers tableaux, et être davantage "séduite" par eux... Le 3ème est beau et très réaliste, mais je crois qu'il m'effraie...
RépondreSupprimerJe t'embrasse, passe une belle journée, pas trop à l'ombre de tes étagères!
Je connaissais les deux premiers... je crois que je n'avais jamais vu le troisième avant qu'il m'interpelle chez jill-bill.
Supprimerc'est un tableau d'un réalisme incroyable... et, je te l'accorde, le regard de l'enfant est effrayant.
En ce moment je suis un peu moins dans mes livres... et un peu plus "lutin vert". C'est indispensable. ;)
Bisous et douce soirée, Annette. Merci pour ta présence et tes mots.
Sortir du cadre, je crois que tu es la championne pour cela dans tes histoires, hihi.
RépondreSupprimerTu connais la devise des psy ? Ils décrètent que leurs patients sont guéris quand ils n'ont plus d'argent pour payer les consultations.
Guérir de son enfance, on le peut ! Il faut beaucoup de forces et d'instinct de survie.
D'autres, ayant eu une enfance trop douce restent dolents et absents de leur vie jusqu'à la vieillesse, bizarre nature humaine.
Pour ma devinette, tu as un mot de juste !
D'autres indices en cours de journée.
BISOUS
Je ris... je n'ai jamais aimé les cadres, fussent-ils très beaux et attirants. ;)
SupprimerMerci de m'avoir apporté un morceau de réponse.
On peut guérir de tout (ou presque), je crois, surtout lorsqu'on y met toute son énergie et sa volonté.
Bisous et douce soirée à toi aussi, Aude.
sortir ou ne pas sortir du cadre ?
RépondreSupprimerje ne sais pas encore, toujours
je crois qu'il faut qu'il ne soit pas un carcan..
bises bises
Tu as raison de préciser.
SupprimerUn cadre peut enjoliver tant qu'il n'est pas carcan.
Bises et douce soirée, Jeanne.
Il y en a qui sortent toute leur vie du cadre même très jeune. Bisous Quichottine
RépondreSupprimerJe suis tout à fait d'accord... et d'autres qui n'en sortent jamais.
SupprimerMais, ce faisant, ils ne savent pas ce qu'ils perdent. ;)
Bisous et douce soirée, Martine. Merci !
Des tableaux au réalisme étonnant ;) et il existe de plus en plus d'enfants mendiants de par le monde malheureusement.
RépondreSupprimerBon mercredi Bise Quichottine (:-*
Et des enfants que l'on achète encore pour des usages encore plus inavouables.
SupprimerMerci pour tes mots en partage, Urban.
Bisous et douce soirée.
Bonjour Quichottine,
RépondreSupprimerSortir du cadre, ne serait-ce pas pénétrer dans un autre ?
Plus favorable, ou aussi contraignant ? L'important ne tient-il pas d'abord à la conscience du choix qui est fait et de l'acte réalisé ?
Ces réflexions et l'image de Jill m'ont fait penser à un article de Felix avec une photo d'un cadre sans la toile peinte, dans un jardin. Mais je ne l'ai pas retrouvé.
À bientôt. Bises.
http://felix1.canalblog.com/archives/2013/06/05/27339145.html
Supprimer:-)
Merci pour le lien vers l'article que Félix a ajouté pour nous...
SupprimerTu poses une question à laquelle je ne sais pas répondre.
Mais j'y réfléchirai.:)
Bisous et douce soirée, Midolu. Merci pour tout.
Je préfère les 2 premiers, le 3eme me fait un peu peur ! Mais on a vraiment l'impression qu'il sort du cadre. Les 3 montrent bien les malheurs de ces enfants
RépondreSupprimerbises et bonne journée
Sortir du cadre est parfois une solution...
SupprimerNe t'en fais pas, les enfants ont plus de ressources qu'on ne le croit.
Bises et douce soirée, Lilwenna. Merci.
ah que j'aime le dernier tableau !!!Passe une douce soirée....
RépondreSupprimerIL m'a beaucoup plu aussi.
SupprimerMerci, Dame.
Passe une douce soirée toi aussi.
Bonjour Quichottine,
RépondreSupprimerJe suis captivée par le second tableau , il va réussir à en sortir enfin délivré. Ton texte est très beau.
Bonne journée et gros bisou
Merci, Cri.
SupprimerJe suis contente qu'il te plaise.
Bonne soirée et gros bisous à toi.
J'ai oublié de te demander quelque chose...
RépondreSupprimerAs tu dans tes tiroirs des petites histoires à raconter à mes petits bouts de 2 ans pour les faire rêver ? Ou peut être as tu édité un livre ?
merci d'avance
bisou
J'ai publié des livres, mais, peut-être pas pour les enfants de deux ans.
SupprimerJe suis navrée, j'aurais bien aimé pouvoir te répondre autrement.
Mes petites filles, lorsqu'elles avaient cet âge, se régalaient d'albums... Il faut que tu les feuillettes au rayon jeunesse et petite enfance des librairies.
Tu y trouveras ce qui te plaît, ce qui leur plaît aussi.
Il y en a tant !
Merci à toi.
Bisous et douce soirée.
Comme ce tableau est vivant, cet enfant sort de son cadre comme il sortirait presque de mon écran ! très impressionnant.
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas, alors merci.
Douce soirée à toi
Gros bisous
Je l'ai trouvé aussi très impressionnant.
SupprimerMerci à jill-bill qui me l'a fait découvrir.
... et merci à toi pour ces mots en partage.
Gros bisous et douce soirée, Anniclick.
Bonjour ma Quichottine
RépondreSupprimerJ'arrive par Google car ton com est arrivé tout nu, sans lien, le pauvre !
Bien sur tu fais comme tu peux, ma belle, mais je voulais savoir si tout fonctionnait !
Je tembrasse
Hélas, cela m'arrive souvent... j'en suis navrée.
SupprimerTout fonctionne, mais je ne pense pas toujours à remplir les cases. :(
Je t'embrasse. Passe une douce soirée.
voir ma reponse sur l'article en ligne :
RépondreSupprimercomme en peinture, le cadre c'est bien, mais ce qu'il y a dedans , c'est mieux !
felix
J'ai vu ton billet...(voir plus bas)
Supprimersuivre le lien :
RépondreSupprimerhttp://felix1.canalblog.com/archives/2013/06/05/27339145.html
felix
J'ai adoré !
SupprimerMerci d'avoir aidé cet enfant à sortir du cadre. ;)
Bises et douce soirée.
Belle image d'espoir. Vif, espiègle qui j'espère grâce à un adulte de référence pourra bénéficier d'une résilience pour l'élaboration de son avenir. Par le passé, il était sans doute plus difficile de faire marcher l'ascenseur social, mais j'ose espérer que c'était possible comme dans des pays d'aujourd'hui comme l'Inde ou au Brésil . On m'a offert le "Grands-parents à vous de jouer" de Marcel Rufo alors ceci explique ma vision toute "psy" de cette échappée de la toile-filet...résilience... Bonne soirée.
RépondreSupprimerJe ne l'ai pas lu... mais j'espère aussi que la vie ouvre des portes même à ceux qui ne sont pas nés "du bon côté" des barrières que nous élevons.
SupprimerMerci pour ce partage, Pierre.
Passe une douce journée.
Sortir du cadre, on doit passer sa vie à sortir de ce cadre dans lequel on nous met.
RépondreSupprimerSortir du cadre pour voir au-delà, voir pour vrai.
Tu dessines une très belle histoire avec ces images Quichottine, une histoire vraie!
Hélène*
Merci pour tes mots en partage, Hélène.
SupprimerJe suis contente qu'elle te plaise.
Il faut continuer à lutter pour notre liberté, où que l'on soit.
Passe une douce journée.
Oui la vie n'était pas facile pour ces enfants miséreux, mais encore aujourd'hui on sait bien qu'il y en a tant et tant encore de par le triste monde !
RépondreSupprimerOn peut toujours espérer que celui ci aura un meilleur sort et trouvera son bonheur !
Bises Quichottine
Oui... et pourtant, nous devrions pouvoir faire en sorte que ces enfants "vendus" n'existent plus.
SupprimerJ'espère que la vie donnera leur chance aux plus démunis, un jour ou l'autre.
Bises et douce journée, Marine. Merci.
Impressionnant ce tableau. Ca me rappelle une toile vue à Berlin où là-aussi la peinture sortait du cadre! Bises VITA
RépondreSupprimerTu te souviens de ce tableau ? Aurais-tu son titre dans tes archives ?
SupprimerBises et douce journée, Vita.
Je vais rester dans le cadre là.... quand j'écris un commentaire... ceci dit je serai tentée de suivre ce petit si malin qu'il a réussi à s'échapper!
RépondreSupprimerBises et douce soirée
Dany
Je ris... c'est vrai que pour laisser un message ici, il vaut mieux ne pas sortir du cadre. :))
SupprimerMerci pour tout, Dany.
Bisous et douce journée à toi.
Le dernier tableau est vraiment impressionnant... Tout est dans le regard... Inquiétant peut-être !
RépondreSupprimerMerci ma Quichottine, je t'embrasse fort. Douce soirée.
J'ai trouvé aussi... mais j'ai aimé l'idée et sa réalisation.
SupprimerMerci, ma Liliane.
Passe une douce journée. Je t'embrasse très fort.
très touchant et si réel...
RépondreSupprimerpasse une bonne journée
arielle
Merci !
SupprimerPasse une douce journée toi aussi.
Je suis fascinée par le talent et le réalisme de ces peintres comme si ils avaient un appareil photo dans les mains avec en plus le jeu des lumières fabuleuses. Le' dernier tableau est surprenant et il me fait penser à la chanson de Pierre Perret "ouvrez, couvrez la cage aux oiseaux".
RépondreSupprimerPerso, j'aime parfois sortir du cadre ou du moule!
Tes mots m'ont ravie comme d'habitude
douce journée ma douce Quichottine
mille bisous du matelot de la terre ferme
Merci infiniment.
SupprimerJ'ai aussi pensé à la chanson de Perret... et à l'oiseau de Prévert.
Un cadre, un moule, c'est aussi une cage dont il faut savoir effacer les barreaux.
Je suis contente que cette page te plaise, Chatou.
Passe une douce journée. Mille bisous à toi aussi.
Tout pour me plaire ici, belles toiles et l'histoire qui va bien merci infiniment Quichottine, te bise !
RépondreSupprimerJe t'embrasse aussi ma Joëlle.
SupprimerMerci pour ces mots en partage.
Passe une douce journée.
Bonjour Quichottine,
RépondreSupprimerC'est vrai que c'est saisissant ce tableau, on peut tout imaginer, puisque l'auteur ne voulait aucune critique apparemment. Il voulait sans doute qu'on ne voit que l'enfant et quel merveilleux moyen que de le faire sortir du cadre, des conventions artistiques.
Merci pour ton commentaire chez moi, c'est vrai que mon article est nébuleux, mais il est adressé à certains, qui le liront et j'espère que cela leur fera remettre les pieds sur terre. Il s'agit tout simplement d'un lynchage par voie d'emails d'un surveillant, je pense qu'on dit en France un pion. Ce pauvre bonhomme s'est retrouvé seul à surveiller 80 petites têtes blondes et brunes, et fatalement cela ne s'est pas bien passé. Les emails grincheux, hargneux, menaçants et au milieu de tout ça, les habituels emails d'appels à des dons, d'aide au jardinage, etc..
C'est marrant et triste à la fois, mais bon on survivra.
C'est joli ici, il y a tous les gadgets de Blogger, c'est marrant de les essayer tous, si je peux me permettre une petite critique, les derniers articles "amis" en dessous c'est un peu long, mais bon un cahier à spirale c'est aussi un cahier de notes de "coin de table".
A bientôt
Je sais que c'est un peu long... mais c'est un moyen pour moi de savoir où en sont ceux de mes amis dont je ne reçois pas la newsletter. :)
SupprimerMerci pour ta présence et ces explications.
Je sais que ce n'est pas facile... il faudra trouver une façon d'éviter ces harcèlements qui n'ont de virtuels que le nom.
Passe une douce journée.
Bonjour ! :-) rarement vu un trompe l'oeil aussi impressionnant...
RépondreSupprimerOn a vraiment la sensation qu'il saute du tableau, on s'attend presque à le réceptionner...
Epatant !
Merci, bonne journée ! :-)
Merci pour cette première visite chez moi.
SupprimerJe suis contente que ce tableau te plaise autant qu'à moi.
Passe une douce journée toi aussi.
Bonjour ma Quichottine
RépondreSupprimerLes tableaux sont d'un réalisme effrayant : Je ne sais pas si je les aime, tant il me semble crû. Le texte explique et adoucit merci
Si l'on devait croire qu'aux choses que l'on a déjà vu, nous ne saurions pas grand chose, n'est-ce pas ma belle ! Le Yéti en fait partie !
Bisous
Un sourire... c'est vrai que ces tableaux sont très réalistes.
SupprimerMerci à toi de l'expliquer.
Bisous et douce journée.
voilà bien de beaux tableaux que je découvre ... bise quichottine
RépondreSupprimerMerci Dom.
SupprimerBises et douce journée à toi.
Le dernier tableau est magnifique et émouvant.Ce regard d'enfant est impressionnant , regarde-t-il sa liberté? Entrevoit-il le bonheur? Prépare-t-il bien sa fuite , son évasion?
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ces peintures riches en réalisme .
Douce soirée, bises Quichottine
Je les aime beaucoup aussi...
SupprimerJe suis contente que tu te poses les questions qui m'ont conduite à cette histoire.
Passe une douce journée, erato. Bises à toi aussi.
s'évader et tourner les pages c'est grandir... bises Quichottine
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec toi... continuons à effacer les barreaux de nos cages. :)
SupprimerBises et douce journée à toi.
magnifique tableau en effet...
RépondreSupprimersuis un peu perdu, moi,
avec tous ces blogs,
avec toutes ces attentes de changements,
suis trop vieux sans doute,
mais pourtant il suffirait que je me décentre,
que je prenne distance,
que du cadre je sorte,
en quelque sorte,
et que je regarde de là-bas,
comme le petit mendiant
pour voir...
et puis que y a-t-il derrière mon écran
où même juste à côté,
je ne sais...
allez ! bon sang ! je sors !
bisous Quichottine
Tu n'es pas trop vieux.
SupprimerIci, c'est un cahier pour mes écrits plus personnels que ne le sont mes compte-rendus de lecture.
Disons que je les ai mis à l'abri de la voracité obéienne.
Que deviens-tu ?
un beau tableau en effet
RépondreSupprimeret qui y a-t-il derrière cet écran
et sur les côté
je ne sais
bisous Quichottine
Tu as dû avoir un problème de lenteur de publication de commentaire...
SupprimerMais ça me permet de te faire le bisou que j'avais oublié plus haut.
ha cet écho...
RépondreSupprimerRire
Je ris aussi... mais merci à toi, Graphène.
SupprimerBisous et douce journée.
La dernière oeuvre est d'une modernité extraordinaire. Beaucoup d'oeuvres (photos, dessins, publicités) utilisent cette "technique" de faire sortir le sujet du cadre.
RépondreSupprimerPas très présent sur la toile en ce moment soleil et douceur ne font pas bon ménage avec l'ordinateur) et (surtout ne le répète pas) pour mes publications j'en fais plusieurs et je les programme à une par jour.
Bonne fin de semaine à toi, à vous
Promis, je ne dirai rien.
SupprimerJ'ai programmé aussi sur le blog des Anthologies...
Ailleurs, je ne programme plus en mon absence. C'est frustrant de ne pas pouvoir répondre au fur et à mesure...
Passe une belle semaine, alphomega. Bises à vous partager.
Bonjour ma Quichottine
RépondreSupprimerBien sur on ne peut critiquer ces tableaux, pour autant les petits mendiants sont gros et gras et cela est illogique !
Par contre le teste est sans défauts comme toujours, c'est un moment rare de lecture !
Je t'embrasse mon amie
Il y a des obèses même pendant la famine, même dans les pays où la misère règne.
SupprimerCeci étant, ces petits mendiants volent leur nourriture, qui pourrait les en blâmer ?
Merci pour ce compliment, Nettoue.
Je t'embrasse fort. Passe une douce journée.
Je n'aime pas les cadres alors j'aime bien ce tableau qui a un air de liberté retrouvée. Bon week-end
RépondreSupprimerJ'aime bien cet air de liberté...
SupprimerMerci, Martine. Bises et bonne journée à toi.
de jolis tableaux
RépondreSupprimerMerci, Flipperine. Je suis contente qu'ils te plaisent.
SupprimerC'est vrai que dans le 3ème et dernier tableau, l'artiste a poussé un peu fort l'expression des yeux ! Bon week end, ici il pleut dans mon Sud.
RépondreSupprimerIl a beaucoup plu en juin... mais tu as dû depuis retrouver le soleil... :)
SupprimerMerci pour ta présence, Elisabeth.
Passe une douce journée.
ha, ha,
RépondreSupprimerdit-il
savez-vous que ceux qui sont sortis du cadre
un jour, comme ça,
mine de tout,
on eut les yeux bien plus écarquillés que cela,
juste trois, for exemple : galilé et ses lunes jupitériennes
einstein et sa toute relative
fleming et son moisi joli
là, c'est plus du cadre que ça sort, c'est des orbites
rire... un peu cavalier
je le concède
Je ris... comment ne pas être cavalier quand on est toi ?
SupprimerPasse une douce journée, Graphène. Merci pour tes mots.
RépondreSupprimerIl attendu la nuit
Il a guetté l'aurore
Il a surpris le chant du coq
Il a pris une échelle au parfum d'aube
Il a grimpé juste quelques marches roses orangées
Il a éteint le soleil orange et rose
Et puis il s'est recouché...
Loop
Ah oui ?
SupprimerJ'aurais préféré qu'il n'éteigne pas le soleil à ce moment-là...
Mais j'aime ton poème, Loop.
Merci !
désolée de mon passage tardif, nous rentrons juste de voyage (lorsque je m'absente je mets un post-it) j'adore ce tableau, voyage à travers le temps , ou évasion, voilà comment je ressens cette peinture.
RépondreSupprimerJe vois que tu t'installes sur cette plateforme, je suis encore indécise, je n'ai pas migré , j'hésite...
bonne soirée
"Sortir du cadre" : Oh que oui et le plus possible !
SupprimerMagnifiques peintures que j'apprécie vraiment, j'en connaissais deux sur trois.
Vraiment admirables !
Je t'embrasse
@ Chevrette
SupprimerJe suis ici en partie, mais encore sur OB pour la Bibliothèque. Je ne sais pas ce que je vais faire. Disons que je reste tant que je ne suis pas obligée de partir. :)
Passe une douce journée.
@ LmVie
Je suis contente que ces tableaux te plaisent. Merci pour ton passage... et pour ces mots d'encouragement.
Je t'embrasse. Passe une douce journée.
touchée par ces tableaux que tes écrits metttent en valeur. quelle détresse et délicatesse exprimée par le pinceau. le dernier tableau, ce regard, effrayé ? ou heureux de sortir ? je ne sais, troublant !
RépondreSupprimerJe t'embrasse
ps je suis contente que mon petit marque page t'ai plu, rebisous
Je le pensais à la fois heureux de sortir et un peu inquiet quant à ce que lui apporterait la liberté retrouvée...
SupprimerJe suis heureuse de ce merveilleux cadeau que tu m'as fait. Très touchée...
Bisous tout plein et douce journée à toi.
Il faut beaucoup de tendresse pour peindre ainsi, et les enfants de ces deux peintres sont frères à travers le temps, fragiles et délurés à la fois. Il ont la force des gamins de Goya, la grâce en plus. Merci pour cette étude de tableaux, toute en douceur, et pour cette leçon : ne jamais se laisser enfermer, aussi doré que soit le cadre !
RépondreSupprimerMerci !
SupprimerQue te dire que tu ne saches déjà ?
Gardons longtemps notre liberté de penser... et d'écrire.
Passe une douce journée, Galet. Merci pour ce partage.
Douce journée à toi aussi
RépondreSupprimerIls sont très beaux ces tableaux, merci de me les faire connaître....Sortir du cadre..Il faut de l'audace parfois mais la vie est faite pour ça
Merci, Gazou.
SupprimerJe crois que c'est important de ne jamais rester enfermé, fusse dans ses propres pensées.
Passe une douce journée.
impressionnant le dernier tableau, d'une telle réalité et intensité, quelle expression grave sur ce visage, ces yeux exhorbités peut être affolés, apeuré, un enfant tremblant de peur ne sachant ce qu'il va trouvé, rencontrer.... Je ne connaissais pas je découvre... Bonne soirée
RépondreSupprimerTon analyse est très bonne.
SupprimerMerci pour ce partage. Je suis contente de te retrouver.
Passe une douce journée.
va falloir que j'aille chez Jill pour savoir le pourquoi du comment...
RépondreSupprimerJe suis sûre que tu y es allée...
SupprimerMerci, Annie.
Bisous et douce journée.
Superbes tableaux et toujours de très jolies histoires, émouvant de le voir prendre sa liberté..j'aime tes mots
RépondreSupprimerMerci Quichottine , je t'embrasse
Bonne nuit
Je suis contente qu'ils te plaisent.
SupprimerMerci, Noëlle, pour ta visite et ces mots en partage.
Je t'embrasse. Passe une douce journée.
Tu as vraiment un talent de conteuse, Quichottine ! Bonne soirée et bisous
RépondreSupprimerMerci pour ce compliment...
SupprimerPasse une douce journée. Bisous.
Extraordinaire, le dernier tableau !
RépondreSupprimerQuant au récit picaresque... tu m'as rappelé le temps lointain de mes études. J'ai "potassé" cela, autrefois, Lazarillo, et Gil Blas aussi...
Souvenirs partagés... :)
SupprimerMerci, Carole. Je suis contente qu'il te plaise.
Passe une douce journée.