La petite fille l’avait planté un jour, en plein milieu de l’allée.
Elle avait tenu bon lorsqu’il s’était agi d’en déterminer la place. Ce serait là et nulle part ailleurs.
Elle avait expliqué qu’il ne servait à rien d’avoir un si joli rosier si c’était pour le mettre dans un coin où personne ne le verrait.
Le rosier avait grandi, comme la petite fille. Il avait pris de l’ampleur et l’on devait maintenant en faire le tour pour continuer son chemin et ne pas s’y piquer.
C’était comme la jeune fille qu’elle était devenue. Il fallait mieux la connaître, l’apprivoiser, pour ne pas recevoir de ces piques acérées qu’elle envoyait de temps à autre à ceux qui la tançaient. Elle n’avait jamais accepté de sacrifier sa liberté, fusse pour se fondre parmi les autres et se trouver des amies.
Elle s’était épanouie, comme les roses du rosier. On enviait sa beauté, mais aussi, sans se l’avouer, la façon qu’elle avait d’être toujours présente où et quand il fallait.
Elle n’avait jamais voulu qu’on déplaçât son rosier.
Adulte, elle avait transformé l’allée en la faisant contourner de part et d’autre ce rosier majuscule qui continuait à grandir comme un arbre, ce rosier inévitable que l’on apercevait depuis la grande grille qui fermait le jardin.
Il se couvrait de roses au printemps, de grandes roses d’un blanc immaculé.
Elle passait de longs moments à le contempler, depuis sa fenêtre, ou très près, sur un banc qu’elle avait installé pour mieux lui parler.
C’est à lui qu’elle avait confié ses chagrins d’enfant, ses premières grande peines. C’est à lui qu’elle posait les questions qu’elle ne pouvait plus poser à d’autres. Et il lui répondait, du moins elle le croyait.
Les années avaient donné ensuite à ses cheveux la couleur des pétales des roses de son rosier.
Elle continuait à lui raconter d'autres peines, qui n’étaient plus les siennes. Elle venait, clopin clopant chaque soir pour admirer les reflets que le soleil couchant déposait sur les immenses fleurs de cet arbre incroyablement grand.
Et puis, un jour, Roselyne ne vint pas.
Au milieu de l’allée d’un jardin déserté, il ne resta qu’un arbre, un rosier géant où chaque jour, d'avril à novembre, une rose pleurait.
© Quichottine, mai 2013.
Image de Joëlle Chen http://jchen.over-blog.com/article-perle-de-rose-115605837.html |
L'histoire a été publiée dans le cadre du "jeu de mai" de "La petite fabrique d'écriture" à l'adresse suivante : http://azacamopol.over-blog.com/article-roselyne-de-quichottine-118179141.html
Merci à Joëlle Chen qui a bien voulu nous prêter cette image pour ce jeu.
...
Bonjour Quichottine... un jour les arbres se retrouvent sans celui ou celle qui l'a planté... Roselyne avait bien joli prénom et bien joli rosier.... Merci... Bises de jill
RépondreSupprimerMerci.
SupprimerOn dit que les roses vivent le temps d'un seul matin... c'est faux.
Celle-ci vivra bien plus longtemps. :)
Bises et douce journée, jill.
Je ne peux que trouver cette histoire bien triste...
RépondreSupprimerBisous Quichottine. Je vais retrouver ma couette à défaut du sommeil, il est temps.
Je suis vraiment navrée de t'avoir attristée.
SupprimerJe t'embrasse très fort. Passe une douce journée.
Bon week-end
RépondreSupprimerBisoux
Thidom
Merci.
SupprimerBisous doux à vous deux. J'espère que Dom va mieux.
Très beau texte avec une fin un peu triste mais que j'aime bien....
RépondreSupprimer"Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, l'espace d'un matin".
Bon week-end. Bises
Ronsard ne savait sans doute pas que nos rosiers peuvent nous survivre longtemps... les roses meurent et renaissent inlassablement. Je ne sais pas si nous en ferons autant.
SupprimerBises et douce journée à toi.
Très beau texte et la fin est triste mais logique.... Bonne journée chez vous, avec nos affectueuses bises
RépondreSupprimerOui... logique.
SupprimerNous sommes tous de passage. Faisons en sorte de profiter de chaque moment qui nous est possible de vivre.
Bises affectueuses et douce journée à vous deux. Merci, Patriarch.
Ainsi va la vie.... belle histoire! mais dans mon imagination je ne voyais pas les roses blanches mais roses... finalement elle est bleue ... de chagrin!
RépondreSupprimerBises
Dany
Je ris... c'est vrai qu'elle est un peu bleue...
SupprimerLe chagrin prend de nombreuses formes. L'important est de pouvoir le dire.
Bises et douce journée, Dany. Merci.
Encore une fois, je vais aller "à contre courant" de tes admirateurs...
RépondreSupprimerJe trouve ton texte très beau, et plein d'images...
Mais contrairement aux commentaires précédents je ne trouve pas la fin "triste", au contraire...
Tu sembles nous dire qu'avec l'Amour que 'Roselyne' a apporté et donné à ce rosier, il va lui survivre...
N'est-ce pas ce que nous voudrions tous ?
Savoir que ceux qu'on aime aujourd'hui seront là demain, quand nous n'y serons plus, pour témoigner et se souvenir...
C'est du moins ainsi que je veux interpréter ton message, que je veux d'espoir......
J'aime énormément ce que tu dis.
SupprimerJe crois qu'effectivement, c'est ce que nous souhaitons, ce que je souhaite de tout cœur.
Partir n'est rien, mourir n'est rien, tant que nous restons un peu dans les pensées de ceux que nous aimons.
Nous vivons dans un monde éphémère, j'espère que ce n'est pas sans raison et que nous pouvons y laisser une trace, même infime.
Passe une douce journée, Yvon. Une journée pleine d'espoir et d'Amour.
Un texte très beau et émouvant
RépondreSupprimer-
Les rêves sont le levain de la réalité "Les roses ont une voix divine. Elles te tirent hors de toi-même, te transportent dans un autre monde et te ramènent auréolée de leur parfum. Ce parfum ne vient pas des roses mais de l'intérieur de toi. " Serdar Ôzkan (La rose retrouvée)
Merci pour cette citation que je trouve magnifique.
SupprimerDouce journée, Marie du pays des images et des mots. :)
quelqu'un d'autre peut-être prendra soin du rosier en souvenir de Roselyne
RépondreSupprimerJe l'espère... ou peut-être ce rosier sera-t-il l'ami d'une nouvelle petite fille...?
Supprimerune histoire jolie et mélancolique... y a t il une fleur plus inspirante ?
RépondreSupprimer...Je ne songeais pas à Rose,
Rose au bois vint avec moi,
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi...
Merci pour ces mots en partage... J'adore !
Supprimer"La rosée offrait ses perles,
Le taillis ses parasols;
J'allais; j'écoutais les merles,
Et Rose les rossignols.
Je ne vis qu'elle était belle
Qu'en sortant des grands bois sourds.
- Soit; n'y pensons plus ! dit-elle,
Depuis, j'y pense toujours"
Julos Beaucarne écrit de très belles chansons.
Passe une douce journée.
Un poème de Victor Hugo mis en musique et interprété par Julos Beaucarne. Superbe ! Merci à vous deux, Emma et Quichottine !
Supprimerhttp://memoirechante.wordpress.com/2011/05/30/victor-hugo-vieille-chanson-du-jeune-temps/
Merci d'avoir redonné au poème le nom de son auteur. :)
SupprimerC'est un superbe moment partagé, Midolu.
Je t'embrasse fort.
Coucou ma Quichottine. Une belle histoire, un peu triste, pour ce rosier qui pleure l'absence de sa propriétaire. Bises et bonne journée
RépondreSupprimerUn peu triste... un peu comme lorsque la vie s'en va.
SupprimerMon commentaire est parti en mode anonyme, sans j'ai pu rentrer mes coordonnées. ZAZA
RépondreSupprimerMerci de l'avoir précisé... C'est vrai que ce n'est pas toujours évident.
SupprimerPasse une douce journée ma Zaza.
Je t'embrasse fort.
RépondreSupprimerj'aime beaucoup, comme opium, je pense comme elle, c'est très beau et d'autres prendront le relais, Bisous, MIAOU !!!!
Merci... C'est une façon de continuer à espérer, malgré tout.
SupprimerBisous et douce journée Mistigris.
alors cette fin triste ou pas ...suivant notre humeur du jour elle sera l'une ou l'autre...
RépondreSupprimerle rosier aura partagé avec Roselyne beaucoup de choses et tant qu'il vivra il se souviendra car si les objets ont une âme pourquoi pas les fleurs :-) ...et n'est ce pas notre vie ...se souvenir ?
Bon WE ...frisquet toujours chez moi
bisous
Frisquet ici aussi... Le soleil n'arrive pas à dissiper tous nos frimas. :(
SupprimerJe suis sûre que l'important est de pouvoir se souvenir encore.
Bisous et douce journée.
Un prénom bien choisi pour une histoire jolie et romantique qui m'a emmenée près de ce rosier. La rose pleure, mais retrouvera vite son sourire car d'autres viendront l'admirer.
RépondreSupprimerAinsi va la vie, les humains ont une vie plus courtes que les roses ...
Bonne journée, je l'espère ensoleillée, on en a besoin !
Gros bisous Quichottine
J'aime ton optimisme, Anniclick.
SupprimerJe le partage... je suis sûre que d'autres viendront l'admirer.
Gros bisous et douce soirée.
Bonjour Quichottine,
RépondreSupprimerBeaucoup de mélancolie douce dans ton histoire ... Seul le beau rosier continuera sa route... et c'est grâce à Roselyne ....
je te souhaite un doux week end
bisou
Elle lui a donné la place qu'il méritait.
SupprimerMerci, Cri.
Bisous et douce soirée à toi.
L'urbanisation menaçant toujours la végétation, je suis, pour ma part, bienheureuse que ce magnifique rosier, ne serait-ce que dans cet espace de création, survive aux assauts de la modernité constructrice!
RépondreSupprimerMerci pour ces mots en partage, Marie-Josée.
SupprimerIl survivra. :)
quel texte sublime .. bravo
RépondreSupprimerMerci, Belbe.
SupprimerPasse une douce soirée.
un joli texte mais une fin triste
RépondreSupprimerJe ne suis pas sûre qu'elle le soit autant.
SupprimerLa vie n'a qu'une fin possible, mais nous revivons dans les souvenirs de ceux qui nous aimaient.
Bonjour Quichottine
RépondreSupprimerPassionnant, mais très triste ma douce, bien sur c'est la vie, la terre autour de se qui fut ce beau rosier a du en garder le souvenir, elle à même du aussi pleurer !
Bisous pour toi
Je suis navrée de t'avoir attristée, Nettoue.
SupprimerLes larmes de la terre sont belles aussi.
Bisous et douce soirée.
J'aime beaucoup la fin de ce conte...Le rosier va survivre témoin de celle qui l'a planté.
RépondreSupprimerMerci Quichottine. Bises
Il me plaît de savoir que d'autres sont témoins, fussent des arbres, des fleurs, ou seulement des perles de pluie sur des images.
SupprimerMerci à toi, Jackie.
Bises et douce soirée.
Une bien jolie histoire qui se finit tristement; C'est la vie qui passe, laisse des traces ou les efface, mais les rosiers aussi soudain peuvent ne plus donner de roses, et s'abimer sous l'attaque d'ennemis ou du temps ...Car tout finit un jour ou l'autre.
RépondreSupprimerBon dimanche Quichottine.
Tout finit... ou se renouvelle.
SupprimerJ'aime penser que le printemps garde des traces des saisons passées.
Bises et douce soirée, Sido.
Que c'est beau !! Merci pour cette belle histoire ! Et les roses, même si elles pleurent, laisseront un souvenir de Roselyne
RépondreSupprimerbises et bon week-end
Je l'espère...
SupprimerMerci, Lilwenna.
Bises et douce soirée à toi.
Mais comme ça devient évident que le Petit Prince ne pouvait pas garder une rose unique sous un globe, un rosier ça pousse , ça grandit...et le monde s'organise autour..la vie va comme elle va, les départs, les absences...les mystères ...Merci pour cette évasion.
RépondreSupprimerLa rose du Petit Prince était peut-être comme mon coquelicot.
SupprimerElle a attendu qu'il revienne pour achever sa croissance.
... juste pour pouvoir le consoler.
Merci pour tes mots en partage, Pierre.
Passe une douce soirée.
Une histoire touchante, j'espère qu'il y aura de la relève pour s'occuper du rosier.Bon dimanche.
RépondreSupprimerIl y en aura forcément... Peut-on laisser un si joli rosier mourir ?
SupprimerBises et douce soirée, Solange. Merci !
Je ne sais pas pourquoi, je pense à la chanson "les roses blanches":http://www.youtube.com/watch?v=cEPEWgGc47k
RépondreSupprimerC'est aussi qu'elles sont souvent destinées à des enfants morts....
Ce texte me rend triste....
Ici, pourtant, ces roses l'ont accompagnée fidèlement tout au long de sa vie...
Bises VITA
C'est une des chansons qui me fait toujours pleurer...
SupprimerJe suis navrée de t'avoir attristée.
Bises et douce soirée, Vita. Merci d'être là.
Les arbres ou plantes ont cette faculté de nous survivre et c'est heureux... Un peu de nous vit encore...
RépondreSupprimerDouce soirée et BISOUS ma Quichottine.
Je suis d'accord avec toi.
SupprimerEspérons qu'il y en ait toujours pour nous survivre et être le témoin de ce qui fut.
Douce et belle soirée, Marité.
Bisous à partager.
Un texte magnifique , qui épouse la vie .Le rosier continuera de fleurir et son parfum embaumera du souvenir de Roselyne.Douce soirée, bises Quichottine
RépondreSupprimerC'est ainsi que j'aime voir la suite de cette vie d'arbre...
SupprimerMerci, Erato.
Bises et douce soirée.
j'ai une petite fille qui a grandi et qui parle toujours à son rosier......
RépondreSupprimerPlus tard, elle écrira des histoires...
SupprimerTu me la présenteras ?
Ainsi va la vie. Un jour arrive où le rosier pleure sa rose disparue.
RépondreSupprimerBon dimanche à vous
Nous faisons partie d'un monde éphémère... mais nous avons de la chance lorsque nous restons dans les souvenirs de ceux que nous aimons.
SupprimerBonne soirée à vous deux.
Bon dimanche
RépondreSupprimerBisoux
Thierry
Merci à vous deux.
SupprimerPrends bien soin de Dom, Thierry.
Bisous à vous partager.
Merci encore une fois pour cette jolie petite histoire à raconter aux enfants un peu trop turbulents le soir...
RépondreSupprimerJe suis ravie qu'elle te plaise... plaît-elle aussi à tes enfants ?
SupprimerL'âme de Roselyne reste présente dans la mémoire de la rose. C'est une belle histoire de vie, de fidélité et de transmission.
RépondreSupprimerMerci pour tout, chère Quichottine.
Bises d'un dimanche de juin.
Merci à toi... pour tout.
SupprimerJ'aime quand tu veilles et que tu rétablis ce qui peut l'être.
Bises et douce soirée, d'un bientôt autre dimanche.
Prends bien soin de toi, Midolu.
Un bien joli texte. S'appeler Roselyne, ou Rose, ou Fleur, ça doit être chouette.
RépondreSupprimerJ'avais une amie qui s'appelait Roselyne... elle l'aurait été sûrement, même si elle avait eu un autre prénom.
SupprimerMerci à toi.
Passe une douce soirée.
Une larme bien tendre, cela prouve combien la nature est mariée à nous.
RépondreSupprimerHélène*
Très beau!
Merci !
SupprimerLa nature sait nous dire ce que parfois nous ne voulons pas entendre.
Passe une douce soirée.
Coucou , encore une belle histoire racontée avec tes mots si doux .mais celle ci est un peu tristounette
RépondreSupprimerBisous Quichottine
Elle est comme la vie... il y a toujours plusieurs façon de la voir.
SupprimerMerci, Claudine.
Bisous et douce soirée.
une belle histoire Quichottine, j'aime imaginer que cette Roselyne a eu une petite fille (pourquoi pas Églantine) qui continue à parler au rosier !
RépondreSupprimerbises
C'est une magnifique idée !
SupprimerMerci pour ce souhait. :)
Passe une douce soirée. Bises Josette.
Jolie photo de Joelle pour illustrer ce joli texte qui m'a emportée. L'issue devait être fatale car c'est notre destin de disparaître un jour. Mais que c'est triste..
RépondreSupprimerdouce soirée chère Quichottine
mille bisous
le matelot de la terre ferme
Fais comme Josette... pense à la petite Églantine qui a continué à prendre soin du rosier, jour après jour...
SupprimerDouce et belle soirée à toi, Chatou.
Mille bisous.
Et je pense à "auprès de mon arbre, je vivais heureux... du grand Georges, , je me dis aussi quelle chance de rester toute une vie au même endroit... De garder ses racines , j'ai tant déménagé, mais, je me dis aussi que malgré tout je suis restée finalement dans ce sud-ouest que j'aime tant...
RépondreSupprimerNous sommes tous pourvus d'épines mais aussi de bonté...
Bisous Quichottine
Il se peut parce que je n'ai pas eu de racines que je rêve tant à ceux qui en ont...
SupprimerMerci pour ces mots en partage, Marine.
Bisous et douce soirée.
Quelle belle et douce histoire ! j'aime bien la tenacité de cette fillette qui ne cède pas devant la raison des adultes, ce long cheminement, cette vie à deux et cette douloureuse séparation. Je suis sous le charme de ce beau conte, mais est-ce vraiment un conte ?... Bisous
RépondreSupprimerCe pourrait être seulement l'une de ces histoires colportées par le vent et que j'ai saisie en passant. ;)
SupprimerBisous et douce soirée, Cathycat. Merci pour tes mots.
Très émouvant... Mais c'est l'histoire d'une vie... Ne doit-on pas tous quitter cette vie un jour et laisser tout ceux qu'on a aimé continuer la leur... La fin est inexorablement la même pour tous...
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort ma Quichottine. Merci. Douce soirée.
J'ose espérer que la vie se renouvelle aussi, fusse dans les souvenirs partagés, dans les mémoires de ceux qui nous ont aimés.
SupprimerJe t'embrasse très fort, ma Liliane.
Passe une douce soirée.
Comme chantait Bécaud, l'important c'est la Rose
RépondreSupprimerOui, aussi... mais je n'en fais pas un instrument politique.
SupprimerJuste un souvenir sur un chemin de vie.
Très beau conte ... Nous sommes comme les roses ... éphémères.
RépondreSupprimerBon début de semaine, Quichottine.
Bisoux doux
Merci, Dom.
SupprimerNous le sommes inexorablement. Mais si le souvenir reste, notre passage n'est pas vain.
Bisous doux et belle fin de semaine à toi.
Une histoire triste... mais c'est joli de laisser une empreinte dans la Nature.
RépondreSupprimerBises
Je le crois...
SupprimerMerci, Fancri.
Bises et douce soirée.
Je viens de lire et de commenter à la Petite Fabrique d'écriture... J'aime cette complicité forte entre Roselyne et son rosier.
RépondreSupprimerbises
Merci d'être allée là-bas aussi... et merci pour ces mots en partage.
SupprimerBises et douce soirée, ABC.
Bonjour ma Quichottine
RépondreSupprimerC'est vrai, il y a beaucoup de Tartarin chez nos politiques, il nous faut donc nous méfier des faux tueurs de lion !
Bon début de semaine mon amie !
Je t'embrasse
PS as-tu reçu la newsletter de ce matin ? J'ai eu du mal à les envoyer .
Je reçois tes news, parfois avec un peu de retard... et il m'arrive de ne pouvoir te lire tout de suite.
SupprimerJ'en suis toujours navrée, et j'espère que tu ne m'en veux pas.
Je t'embrasse. Passe une douce soirée.
une fin un peu triste mais réaliste ... bise Quichottine
RépondreSupprimerIl faut un jour obéir à la réalité. ;)
SupprimerBises et douce soirée, Dom. Merci.
Bon mardi !
RépondreSupprimerAvec toute mon amitié.
Thierry
Merci, Thierry. Je suis désolée de voir que Dom ne va pas bien.
SupprimerPrends soin d'elle et transmets-lui toute mon amitié.
J'arrive de chez EmMa et découvre votre blog.Quelle merveilleuse histoire triste!
RépondreSupprimerMerci... et merci à eMmA de vous avoir indiqué le chemin.
SupprimerBonjour Quichottine , j'aime beaucoup ton histoire , la fin est triste comme tout le monde le dit mais c'est ainsi , c'est la "vie" !
RépondreSupprimerJe t'embrasse et te souhaite une belle journée ensoleillée
Comme tu le dis... Pourtant, je ne trouve pas que ce soit triste. Si nous étions éternels, nous aurions d'autres problèmes à résoudre.
SupprimerJe t'embrasse. Passe une douce soirée.
Coucou Quichottine,
RépondreSupprimerC'est une très belle histoire, mais la fin est tellement triste :( Cependant c'est aussi ça la vie et la fin
Douce journée & gros bisous
C'est vrai que j'aurais pu m'arrêter avant les dernières lignes... mais comment faire pleurer le rosier sans elles ? ;)
SupprimerBisous doux à vous partager. Passez une belle soirée.
Comme c'est beau! La fin est triste mais c'est la vie qui est ainsi . Avoir un rosier pour ami, ce n'est pas commun mais je suis sûre qu'il sait consoler une peine.
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Il l'a consolée bien souvent... ;)
SupprimerMerci, Fanfan.
Je t'embrasse. Passe une douce soirée.
Merci pour ces histoires que tu nous racontes. Quel plaisir de te lire!
RépondreSupprimerBonne fin de soirée.
Merci, Philippe.
SupprimerJe suis toujours contente quand elles vous plaisent.
Douce fin de soirée à toi aussi.